Salut! Avant de te présenter l’invitée d’aujourd’hui, et pour célébrer les deux ans de Papa PhD, j’aimerais t’étendre une invitation, directement à toi.

Si un des épisodes de Papa PhD a suscité chez toi une question, ou si tu aimerais que je temette en contact avec les gens que tu vois passer sur le podcast, ou, encore, ou si tu aimerais contribuer d’une façon ou d’une autre à Papa PhD, avec des suggestions ou même du contenu, écris-moi à [email protected].

Ça me fera plaisir de te répondre et, éventuellement, d’en discuter avec toi. Je réfléchis en ce moment à la Saison 3, et c’est le moment de brasser des idées! Donc, n’hésite pas!

Et en parlant de brassage d’idées, dans la conversation que je partage avec toi cette semaine, j’ai le plaisir de t’apporter Emilie-Jade Poliquin, qui travaille à la direction générale de l’INRS, et avec qui j’ai parlé des mythes qui entourent la question des débouchés professionnels pour les docteur.e.s.

Ce que tu apprendras dans cet épisode :

  • Comment l’implication dans les associations étudiantes a enrichi le parcours académique d’Emilie-Jade et lui a apporté d’intéressantes compétences transversales
  • Pourquoi le choix d’université est important si l’associativisme t’intéresse
  • Pourquoi le mythe selon lequel la vie des étudiants aux cycles supérieurs doit être monastique est dangereux
  • Comment échapper à l’effet tunnel pendant don doctorat
  • Le discours pernicieux autour du plan B, au doctorat, teinté  de la notion d’échec
  • Pourquoi il faut déboulonner le mythe de la surqualification des docteur.e.s
  • L’important d’avoir des différents modèles de parcours après le doctorat sur lesquels s’inspirer
  • Les portes qui s’ouvrent à nous quand on prend l’approche “multivers” d’options de carrière
  • Comment répondre à la question “Mais pourquoi tu as fait un doctorat, alors?” en entrevue d’emploi

Tu aimes Papa PhD ? Laisse-moi un commentaire ici – une courte phrase suffit ! Et inclus ton identifiant Twitter – comme ça je pourrai te remercier personnellement !

Emilie-Jade Poliquin

Emilie-Jade Poliquin est conseillère en relations gouvernementales à la direction générale de l’Institut national de la recherche scientifique (INRS). Au cours de ses études aux cycles supérieurs, réalisées à l’Université Laval en cotutelle avec l’Université Toulouse II Jean-Jaurès, et de son stage postdoctoral fait à l’Université Columbia de New York, elle s’est principalement intéressée à la mise en forme de la connaissance scientifique à l’époque gréco-romaine. Ses nombreuses implications, dans des associations étudiantes notamment, ont marqué son parcours et l’ont poussé à s’interroger sur les moyens de mieux préparer la communauté étudiante aux cycles supérieurs à leur arrivée sur le marché du travail. Elle tient depuis janvier 2021 une chronique nommée « Prof ou pas » dans le magazine Affaires universitaires.

Merci Emilie-Jade!

Si cet entretien avec Emilie-Jade Poliquin t’a plu, fais-lui en part en cliquant sur le lien ci-dessous et en lui laissant un message sur LinkedIn :

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Les perles de sagesse d'Emilie-Jade :

« Moi, si j’ai un message à passer, c’Est de toujours essayer de garder un contact avec la réalité. Que ça soit par le sport, que ça soit par la culture, en faisant de la musique ou du théâtre, les implications, le bénévolat, que ça soit à l’intérieur ou à l’extérieur de l’université, c’est un moyen de garder notre tête sur nos épaules. Mais aussi, c’est particulier, parce qu’on parle beaucoup de réseautage, aussi, pour être capable d’avoir un emploi, plus tard, et ces emplois-là sont de plus en plus à l’extérieur de l’université, donc le réseautage, c’Est important. Et c’est à une période de notre vie où notre cercle social se rétrécit extrêmement, et on favorise, et on glorifie, même, le fait de rétrécir notre vie autour de notre seul et unique projet doctoral. Et les conséquences peuvent être complètement désastreuses. »

« Si on travaille sur notre “plan B” avec un peu plus de compétences transversales – des compétences de gestion de projets, de communication scientifique, de travail d’équipe, selon moi, toutes ces compétences-là peuvent être tout aussi importantes si on devient professeur. Parce qu’on va peut-être être chef de lab, on veut être un bon enseignant, un bon vulgarisateur scientifique. Donc ces compétences-là ne sont pas juste pour l’extérieur de l’université. À la limte, elle le sont plus à l’intérieur. Et toute la dynamique d’excellence, de rigueur scientifique, d’avoir une discipline, d’être capable de respecter les délais, eh bien, on va être capable de les utiliser à l’exptérieur de l’université. »e

Les ressources de cet épisode :

  • Emilie-Jade Poliquin | LinkedIn
  • Chronique « Prof ou pas » – Affaires universitaires | Site Web
  • Article « Prêt pour un marathon doctoral? » – Affaires universitaires | Lire

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Boîte à outils pour les études doctorales – Mon cheminement : PapaPhD.com/37

Carine Monat – Journalisme scientifique : PapaPhD.com/40

Marc Chevalier – Transfert de connaissances : PapaPhD.com/76

Martin Primeau – Communication scientifique : PapaPhD.com/44; PapaphD.com/45

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