On n’est pas des êtres unidimensionnels. On a tous un intérêt, un penchant, un côté qu’on a mis sur pause ou qu’on cultive quand on peut, dans nos temps libres.

Eh bien, parfois la vie nous offre la chance de mettre cette face cachée en premier plan et d’en faire une partie intégrante de notre vie professionnelle.

Dans la conversation d’aujourd’hui, mon invitée, Carine Monat, partage avec nous les aléas qui l’ont amenée de la biologie moléculaire au journalisme scientifique.

Carine Monat

Carine Monat a réalisé son doctorat en neurobiologie à l’Université de Montréal. Férue de découvertes, de rencontres et de partage, elle est désormais journaliste et recherchiste scientifique pour plusieurs médias. Elle collabore aux émissions Moteur de recherche, sur ICI Radio-Canada première, et Ça me regarde sur AMI-télé comme chroniqueuse. Elle est également recherchiste scientifique pour Unpointcinq, le média de l’action climatique au Québec. Elle s’intéresse à la place des femmes en science, comme animatrice et réalisatrice du balado 20% avec Québec Science et l’Acfas, et dans un projet web avec l’ONF. Elle tient à la différence entre savoir et comprendre.

Ce que tu apprendras dans cet épisode :

  • L’importance de choisir un cheminement académique qui va avec votre personnalité
  • Les critères à considérer quand on choisit un laboratoire
  • Le rôle important que joue notre réseau social rapproché pendant les études graduées
  • L’intérêt d’essayer différentes choses, des stages, du bénévolat, pour identifier le domaine dans lequel on aimerait travailler
  • À quoi ressemble le jour-le-jour d’un journaliste/recherchiste

Les perles de sagesse de Carine :

« Elle me disait “un échec, ce n’est pas tant un échec que tes limites.” Elle, elle voulait faire astronaute – c’est quand-même intense. Elle a essayé, elle n’a pas réussi – elle m’a dit: “c’est pas grave, c’est juste pas pour moi, c’est ma limite, mais au moins, j’ai essayé.” »

« Maintenant, l’avantage, avec LinkedIn et tout, c’est vraiment, je pense – il ne faut pas hésiter à les contacter. Les gens sont sur LinkedIn parce qu’ils sont à même de se faire contacter, sinon ils n’y seraient pas. Au pire aller, ils ne vous répondent pas, mais ça vaut la peine de tendre une perche. »

« Moi, je ferais, quand-même, des recherches – il ne faut pas, non plus, lancer des perches, comme ça, à tout va. Il faut être un peu pertinent, un peu renseigné, sinon vous allez vous noyer dans le lot des gens qui les contactent. Il faut savoir un peu ce qu’on veut en allant frapper à la porte de cette entreprise ou de ce labo de recherche-là. Et, surtout, il ne faut pas hésiter. »

Les ressources de cet épisode :

Merci Carine !

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