Dans l’épisode d’aujourd’hui d’Au-delà de la thèse avec Papa PhD, je partage avec toi la deuxième partie de mon entrevue avec Martin Primeau.

Dans cette deuxième partie, on a discuté plus en détail de la profession de communicateur scientifique dans le milieu journalistique et dans un milieu institutionnel et Martin a partagé ses conseils pour une transition sereine et productive vers la vie professionnelle après la maîtrise ou le doctorat.

bourse Fernand Séguin, biologie cellulaire, journalisme, scientifique

Spécialiste de la communication scientifique, Martin Primeau œuvre présentement comme conseiller en relations médias à Polytechnique Montréal. Titulaire d’un doctorat en biologie cellulaire de l’Université McGill et d’une maîtrise en biochimie de l’Université de Montréal, il avait accroché son sarrau en 2010 pour se consacrer à une carrière en journalisme, écrivant notamment pour LaPresse+, les magazines les Débrouillards et l’hebdomadaire agricole La Terre de Chez Nous. Il a aussi préparé des reportages télé pendant 3 ans pour l’émission de vulgarisation scientifique Le Code Chastenay à Télé-Québec en plus de consacrer une bonne partie de son temps à la rédaction de textes pour le milieu des affaires.

Ce que tu apprendras dans cet épisode :

  • Les défis auxquels peut s’affronter un journaliste scientifique
  • La question des fausses représentations soi-disant scientifiques ou des instrumentalisations biaisées de résultats scientifiques dans les médias
  • L’intérêt essayer des choses avec lesquelles on n’est pas familier
  • L’importance de faire du bénévolat dans votre domaine d’intérêt pour développer des compétences connexes
  • Le rôle du métier de journaliste
  • L’effet accélérateur de la bourse Fernand Séguin pour ceux qui désirent faire du journalisme scientifique
  • Les magazines et autres publications universitaires comme rampes de lancement dans le domaine journalistique

Les perles de sagesse de Martin :

« Oui, nos scientifiques doivent parler. Souvent, ce qui les retient de parler, c’est,  justement que comme scientifique on apprend à se limiter aux faits et pas nécessairement à donner notre opinion. Et puis, des fois, ça fait en sorte qu’on pense qu’on n’a pas à dire un mot sur une question qui est d’intérêt public parce que, dans le fond, ça sort un petit peu de notre expertise. »

« Certain que c’est une bonne idée d’aller acquérir des nouvelles compétences parce que par l’exercice, en essayant, par exemple, de rédiger, on acquiert des compétences, on apprend, on vit une expérience qui est différente de celles auxquelles on est confronté dans la vie de tous les jours. Si on n’élargit pas sa zone de confort, eh bien, on ne grandit pas. Il ne faut pas hésiter à repousser les frontières, à essayer des choses avec lesquelles on n’est pas familer. Et puis on se découvre, en même temps. »

Les liens de Martin : Linkedin.

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Carine Monat – Journalisme scientifique : PapaPhD.com/40

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